Le mercredi 26 novembre 2014, le Gwo Ka était labellisé au Patrimoine Culturel Immatériel (PCI) de l’UNESCO.
Catégorie : Histoire
Le 11 novembre à Pointe-à-Pitre
Cette date marque l’armistice entre la France et l’Allemagne alors en guerre depuis 1914.
Achille RENÉ BOISNEUF
Né au Gosier le 9 novembre 1873 sous le matronyme RENÉ, fils d’un esclave affranchi (Hyacinthe BOISNEUF), Achille est reconnu par la famille BOISNEUF et vit à Pointe-à-Pitre.
Dans cette ville, il étudie au lycée Carnot.
Par David GREGOIRE - 09.11.2024 - Pointe-à-Pitre, Guadeloupe.
Gérard-Michel CORBIN
Né en Martinique de parents guadeloupéens le 3 octobre 1905, il est diplômé Ingénieur Architecte E.T.P. en 1929.
Par David GREGOIRE – 03.10.2024 – Pointe-à-Pitre, Guadeloupe.
Chaque année, le 31 mai marque la date anniversaire de la fondation de la ville de Pointe-à-Pitre.
En effet, c’est le 31 mai 1764 que le gouverneur François Charles de BOURLAMAQUE émet une ordonnance pour la création d’un bourg situé sur le Morne Renfermé (emplacement actuel correspondant : au Quartier du Port / aux rues Achille René Boisneuf, Delgrès et Peynier).
Le 4 février marque la date de la première abolition de l’esclavage en France suite à un vote de la Convention Nationale (Assemblée Nationale).
Le 24 décembre
Cette date marque l’arrivée du bateau nantais « L’Aurélie » le 24 décembre 1854, en provenance d’Inde et plus particulièrement de Pondichéry. Il débarque à La Darse le premier convoi de 314 travailleurs indiens engagés sous contrat après plusieurs semaines en mer et deux océans traversés.
Le dernier convoi (sur 93 au total) amenant 600 travailleurs, lui, sera effectué sur le navire « Nantes Bordeaux » le 31 janvier 1889.
Les guadeloupéens indo-descendants obtiennent la nationalité française en 1923, fruit du combat d’Henry SIDAMBAROM.
Le 29 novembre – Ce jour marque l’anniversaire de la naissance de Camille MORTENOL.
Les 12, 13 et 14 mai 2023 marquent les cent ans du « Concours-Exposition Artistique et Agricole » de Pointe-à-Pitre, la première exposition d’art en Guadeloupe.
En 1965, la municipalité de Pointe-à-Pitre désire faire construire un centre des arts mais également un espace politique.
Église Saint-Pierre et Saint-Paul
L’Église Saint-Pierre et Saint-Paul an tan lontan.
Cinquième église de la ville dans l’ordre chronologique, elle est construite sur l’ancien morne du Gouvernement (ou morne Victoire et plus anciennement morne à Picou).
Le Lakou est un lieu de vie, un bien matériel de la cellule familiale au sens large.
On pourrait le traduire comme “l’arrière-cour”, à ne pas confondre avec une cour (sorte de ruelle ou d’impasse).
Un siècle, George Tarer
Aujourd’hui George Tarer a 100 ans…100 ans d’une vie de combat, 100 ans d’engagement au service des femmes, des jeunes, des plus démunis.
Marcel Lollia, dit “Vélo”, naît le 7 décembre 1931 à Pointe-à-Pitre.
31 mai 1764
En ce 31 mai, notre ville de Pointe-à-Pitre fête son anniversaire.
(Re)découvrez son histoire dans la vidéo :
C’était un 27 mai…
1802 : Le reste des prisonniers de la colonne d’Ignace sont fusillés à Fouillole en bord de mer. Leurs corps sont jetés à l’eau.
C’était un 26 mai…
1802 : 100 prisonniers faisant partie de la colonne d’Ignace, luttant contre le rétablissement de l’esclavage, sont fusillés sur la place de La Victoire.
le 25 mai 1802
8 mai 1945
Un théâtre sur la place
En 1827, un théâtre fut construit au nord de la place de La Victoire, à l’emplacement de l’actuel kiosque à musique.
Il fut détruit en 1843 par le tremblement de terre.
Il y a 178 ans, un séisme majeur (magnitude estimée à 8,5 sur l’échelle de Richter) est ressenti en Guadeloupe. La secousse est perçue très loin aussi bien au sud à Caracas et Cayenne, qu’au nord des États-Unis. Il est suivi à Pointe-à-Pitre d’un incendie qui dure près d’une semaine. Les pertes humaines et matérielles sont considérables.
Le boulevard Faidherbe
La fin du canal des boulevards :
A la fin des années 1960, le canal situé sur les boulevards Hanne et Faidherbe est canalisé dans une buse courant le long de la route, sous les boulevards.
On dé pyès kaz
Les « on dé pyès kaz » étaient transportées depuis les campagnes sur des cabrouets (charrettes) jusque dans les faubourgs proches et lointains de Pointe-à-Pitre.