Oubliée, l’histoire du bagne flottant de Pointe-à-Pitre résonne comme un silence assourdissant dans l’histoire de la ville mais aussi du Petit et du Grand-Cul-de-Sac Marin, reliés par la Rivière Salée.
Le bagne flottant de Pointe-à-Pitre

Oubliée, l’histoire du bagne flottant de Pointe-à-Pitre résonne comme un silence assourdissant dans l’histoire de la ville mais aussi du Petit et du Grand-Cul-de-Sac Marin, reliés par la Rivière Salée.
Le mercredi 26 novembre 2014, le Gwo Ka était labellisé au Patrimoine Culturel Immatériel (PCI) de l’UNESCO.
En 2023 , nous vous alertions sur le cas de cette villa de ville pointoise, témoin du passé maritime de la ville de Pointe-à-Pitre, de son port et des métiers inhérents à son fonctionnement et du patrimoine immatériel : la mémoire des Pointois.
Cette date marque l’armistice entre la France et l’Allemagne alors en guerre depuis 1914.
Né au Gosier le 9 novembre 1873 sous le matronyme RENÉ, fils d’un esclave affranchi (Hyacinthe BOISNEUF), Achille est reconnu par la famille BOISNEUF et vit à Pointe-à-Pitre.
Dans cette ville, il étudie au lycée Carnot.
Par David GREGOIRE - 09.11.2024 - Pointe-à-Pitre, Guadeloupe.
Né en Martinique de parents guadeloupéens le 3 octobre 1905, il est diplômé Ingénieur Architecte E.T.P. en 1929.
Par David GREGOIRE – 03.10.2024 – Pointe-à-Pitre, Guadeloupe.
Chaque année, le 31 mai marque la date anniversaire de la fondation de la ville de Pointe-à-Pitre.
En effet, c’est le 31 mai 1764 que le gouverneur François Charles de BOURLAMAQUE émet une ordonnance pour la création d’un bourg situé sur le Morne Renfermé (emplacement actuel correspondant : au Quartier du Port / aux rues Achille René Boisneuf, Delgrès et Peynier).
Notre association est heureuse, pour le patrimoine immatériel et matériel de Pointe-à-Pitre, de la pose d’une plaque sur la façade de la maison natale située au 15 rue Alexandre Isaac, de l’auteure guadeloupéenne, lauréate du prix Nobel Alternatif 2018 de littérature Maryse CONDÉ, en ce mardi 26 mars 2024 à 16h30.
Patrimoine Pointois a collaboré avec deux élèves en design d’espace à Basse-Terre, Noély et Pierre, sur un épisode de notre chaîne de podcast.
Le 4 février marque la date de la première abolition de l’esclavage en France suite à un vote de la Convention Nationale (Assemblée Nationale).
Cette date marque l’arrivée du bateau nantais « L’Aurélie » le 24 décembre 1854, en provenance d’Inde et plus particulièrement de Pondichéry. Il débarque à La Darse le premier convoi de 314 travailleurs indiens engagés sous contrat après plusieurs semaines en mer et deux océans traversés.
Le dernier convoi (sur 93 au total) amenant 600 travailleurs, lui, sera effectué sur le navire « Nantes Bordeaux » le 31 janvier 1889.
Les guadeloupéens indo-descendants obtiennent la nationalité française en 1923, fruit du combat d’Henry SIDAMBAROM.
Le 29 novembre – Ce jour marque l’anniversaire de la naissance de Camille MORTENOL.
Que se passe-t-il sur la Place ?
Le 17 décembre 2021 était annoncée, devant la Renaissance encore “debout” lors d’une première conférence de presse publique, la démolition de cette dernière ainsi que celles de l’ancienne clinique Saint Nicolas et la Maison de Marie-Galante.
Les 12, 13 et 14 mai 2023 marquent les cent ans du « Concours-Exposition Artistique et Agricole » de Pointe-à-Pitre, la première exposition d’art en Guadeloupe.
Durant la semaine 22 de 2022, nous avons aperçu, accroché sur le mur de façade des Chantiers Viviès, un permis d’occupation de la voie publique signée par l’édile de la ville signalant l’imminence de la démolition des Chantiers Viviès.
En 1965, la municipalité de Pointe-à-Pitre désire faire construire un centre des arts mais également un espace politique.
Marcel Lollia, dit “Vélo”, naît le 7 décembre 1931 à Pointe-à-Pitre.
C’était un 27 mai…
1802 : Le reste des prisonniers de la colonne d’Ignace sont fusillés à Fouillole en bord de mer. Leurs corps sont jetés à l’eau.
C’était un 26 mai…
1802 : 100 prisonniers faisant partie de la colonne d’Ignace, luttant contre le rétablissement de l’esclavage, sont fusillés sur la place de La Victoire.
En 1827, un théâtre fut construit au nord de la place de La Victoire, à l’emplacement de l’actuel kiosque à musique.
Il fut détruit en 1843 par le tremblement de terre.
Depuis quelques semaines, des fouilles archéologiques préventives sont menées sur une parcelle se situant sur les quais de Pointe-à-Pitre.
L’institut à mis au jour divers éléments présents dans le sol et a pu retracé une partie de l’histoire des lieux :
Une nouvelle fois, nous avons alerté les administrations et collectivités compétentes concernées par la dégradation avancée d’un monument historique, témoin et vestige industriel de la ville de Pointe-à-Pitre.
Il y a un peu plus de 2 ans, le 07 février 2019 vers 21h, la Maison Forier était emportée par les flammes. Un pan du patrimoine de la ville, symbole de la maison bourgeoise créole pointoise disparaissait, emportant avec elle le vécu et les souvenirs de ses occupants.
Pourquoi s’évertuer à détruire systématiquement le patrimoine de Pointe-à-Pitre ?
Pour rappel :
Le 25 janvier 2020, aux alentours de 16h, l’alerte était donnée, l’incendie de la Renaissance située sur la place de La Victoire, retentissait comme un coup de tonnerre à Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe et au-delà.
L’histoire de la Renaissance, place de la Victoire; une histoire singulière :
En 1927, quatre pointois décident de créer une société (la société du théâtre de Pointe-à-Pitre) afin de lancer une souscription. Ils récolteront 400.000 francs de l’époque.